50ème page de 365 en ligne.
365 touche à sa fin, plus que deux pages et j’en aurai terminé avec ce défi que je me suis lancé il y a deux ans déjà. Après plusieurs mois d’abandon, mon âme m’est venu en aide sous la forme d’un rêve. Depuis le 1er janvier, pas un jour ne s’écoule sans que je ne fasse un effort pour changer, et faire ce que moi seul peux faire.
Page 50: réinstallation d’Ubuntu sur mon ordinateur, Blur (un personnage que j’ai crée au lycée et que j’ai dessiné plusieurs fois le long de 365), la Evil Girl (les fans de Catch comprendront), le sol de ma chambre (j’y reviendrais), ma main tenant une lampe, un monsieur Lièvre espiègle et, donc, une dame dont j’ai rêvé la nuit du 31.
J’ai rêvé d’une lumière immense qui baignait tous mes mondes intérieurs, finissant sur un empire aquatique de monstres qui bâtissaient des colonnes de pierre gravées de têtes étranges à perte de vue. Une petite demoiselle faite d’encre noire, élégamment vêtue et dessinée à la Sfar changeait de forme et passait de l’un à l’autre afin de ramener ce Soleil sur terre, griffant les portes qui refusaient de s’ouvrir.
En tant que Guru de ma propre spiritualité, je déclare ce rêve un bon augure pour l’année qui commence.
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