51ème page de 365 en ligne.
De haut en bas: ton humble serviteur mène le bal en hommage à mon monstrueux ego (Alexandre, sache que je m’aime et que je tenais à me le dire), un chat sous la neige, le sol de ma chambre, « autoportrait » féminin (si j’étais une femme, je m’épouserais), trois personnages imaginés dans ma jeunesse, un dessin fait dans le noir (j’écris aussi mal dans le noir que quand je vois… c’est triste), et enfin Chance (Freak’s Squeele) apprenant à danser à Kurumu (Rosario Vampire), parce que la seule chose mieux qu’une succube, c’est deux succubes.
Rappelons le principe de 365: dessiner quelque chose quotidiennement, n’importe quoi mais dessiner, jusqu’à atteindre le 365ème dessin. Il s’agit tout simplement de me prouver que je suis capable de le faire chaque jour, sans en être lassé. Car imaginer des projets est un plaisir en soi, différent de les réaliser: j’ai imaginé des milliers de choses, comme chacun d’entre nous. Loin des projections faciles sur un lointain futur glorieux, 365 m’a ancré à la réalité: j’ai parfois répondu présent, parfois non. J’ai connu la fameuse page blanche, la flemme, le doute, la déception devant le résultat et toute sorte de sentiments allant jusqu’à l’infatuation. Certaines nuits, j’ai cru gratter du crayon les mystères les plus profonds. Ma confiance a enflé jusqu’à emplir le ciel et s’est vue un rêve au réveil.
A bientôt, pour la 52ème page.
365 — page 51
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Commentaires
2 réponses à “365 — page 51”
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on a tous voulu un jour épouser un dessin, certains auraient dû. certains épouse LE dessin. tous mes voeux à ceux là.
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on a tous voulu un jour épouser un dessin, certains auraient dû. certains épouse LE dessin. tous mes voeux à ceux là.
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